Le gouvernement va inciter l'usage des TIC pour diminuer l'empreinte écologique des entreprises : une chance majeure pour les plate-formes éditoriales
Vu sur l'excellent GreenIT :
“Christine Lagarde, ministre de l’Économie, de l’industrie et de l’emploi, et Christian Estrosi, ministre chargé de l’Industrie, ont reçu des mains de Pascal Faure, vice-président du Conseil général de l’Industrie, de l’énergie et des technologies (CGIET), un rapport relatif à la contribution des technologies du numérique au développement durable. Ce rapport émet 15 recommandations.”
Vous pouvez lire ce rapport en téléchargeant le PDF. Je l'ai parcouru, et plusieurs recommandations ont attiré mon attention, car elles militent véritablement pour l'intensification de l'usage des plate-formes éditoriales dans les entreprises et les collectivités :
Ces recommandations me réjouissent, car elles vont dans le sens de ce que je vis quotidiennement avec “mes” plate-formes éditoriales… Je vis dans un département rural, et grâce aux plate-formes éditoriales, je peux travailler à distance avec des clients répartis aux 4 coins du globe pour créer leurs supports de communication, sans me déplacer.
Ça marche vraiment, et surtout, la plate-forme éditoriale banalise le travail collaboratif à distance, en incitant les gens à télé-conférencer plutôt qu'à se déplacer… Ça participe également à banaliser le zéro-papier, car les échanges électroniques se fluidifient, et les clients perdent petit-à-petit le réflexe du "tout papier".
J'avais rédigé il y a quelques mois un livre vert sur les bénéfices des plate-formes éditoriales en termes de développement durable. Pour ceux que ça intéresse, cliquez ici…
Que l'on se comprenne bien, je ne suis pas un pourfendeur de l'imprimé… J'aime le livre, j'adore l'imprimerie… mais en tant que "professionnel" de la communication, je constate combien nous produisons de déchets inutiles pour un résultat peu pertinent. Je "milite" à mon petit niveau, auprès de mes clients, pour n'imprimer que le strict nécessaire, et recourir au maximum aux supports électroniques.
Source : http://www.greenit.fr/article/acteurs/green-it-le-gouvernement-passe-a-la-vitesse-superieure
“Christine Lagarde, ministre de l’Économie, de l’industrie et de l’emploi, et Christian Estrosi, ministre chargé de l’Industrie, ont reçu des mains de Pascal Faure, vice-président du Conseil général de l’Industrie, de l’énergie et des technologies (CGIET), un rapport relatif à la contribution des technologies du numérique au développement durable. Ce rapport émet 15 recommandations.”
Vous pouvez lire ce rapport en téléchargeant le PDF. Je l'ai parcouru, et plusieurs recommandations ont attiré mon attention, car elles militent véritablement pour l'intensification de l'usage des plate-formes éditoriales dans les entreprises et les collectivités :
- “Recommandation 6 : Agir au niveau de l’Etat et des collectivités locales par un comportement exemplaire (… développement de la téléprésence dans l’administration…)”
- “Recommandation 8 : Favoriser l’installation des centres de données en France dans un triple objectif de développement durable, de compétitivité de la France et d’aménagement du territoire.”
- “Recommandation 10 : Favoriser le travail à distance dans un double but écologique et d’aménagement du territoire, et promouvoir le développement des télécentres”
- “Recommandation 15 : Généraliser la dématérialisation de l’ensemble des chaînes d’échanges d’informations, de contrats, ou de documents administratifs (travailler sur les outils d’authentification, d’interopérabilité et s’accorder sur des standards d’échange).
Ces recommandations me réjouissent, car elles vont dans le sens de ce que je vis quotidiennement avec “mes” plate-formes éditoriales… Je vis dans un département rural, et grâce aux plate-formes éditoriales, je peux travailler à distance avec des clients répartis aux 4 coins du globe pour créer leurs supports de communication, sans me déplacer.
Ça marche vraiment, et surtout, la plate-forme éditoriale banalise le travail collaboratif à distance, en incitant les gens à télé-conférencer plutôt qu'à se déplacer… Ça participe également à banaliser le zéro-papier, car les échanges électroniques se fluidifient, et les clients perdent petit-à-petit le réflexe du "tout papier".
J'avais rédigé il y a quelques mois un livre vert sur les bénéfices des plate-formes éditoriales en termes de développement durable. Pour ceux que ça intéresse, cliquez ici…
Que l'on se comprenne bien, je ne suis pas un pourfendeur de l'imprimé… J'aime le livre, j'adore l'imprimerie… mais en tant que "professionnel" de la communication, je constate combien nous produisons de déchets inutiles pour un résultat peu pertinent. Je "milite" à mon petit niveau, auprès de mes clients, pour n'imprimer que le strict nécessaire, et recourir au maximum aux supports électroniques.
Source : http://www.greenit.fr/article/acteurs/green-it-le-gouvernement-passe-a-la-vitesse-superieure