L'iPad, en passe de combler le chaînon manquant...
L'iPad, je l'avoue, j'étais sceptique au début. OK, le fait que ce soit Steve Jobs qui le lance, ça avait tendance à me rassurer. Mais bon, faisant partie de la génération qui a connu le Newton, je suis longtemps resté réservé.
Tout d'abord, sur l'utilité de l'appareil : comme beaucoup, j'avais tendance à trouver l'appareil "pas assez". Pas assez gavé de mémoire, pas assez de connectivité, pas assez de logiciels...
Ensuite, sur ce à quoi il allait servir. Franchement, lorsqu'on dispose d'un ordinateur portable, d'un smartphone et d'une console de jeux, plus éventuellement un ordinateur de bureau, pourquoi se doter d'une tablette ?
Au fil des mois, le succès s'est confirmé : les applications se sont multipliées, et je crois que j'ai fini par comprendre.
Ce n'est pas l'iPad qui est "pas assez", ce sont les autres machines qui sont "trop".
J'ai grandi en informatique avec la stratégie du tuning : on achetait un PC et on le gavait au fil des années d'accessoires censés accroître ses performances. Carte graphique, mémoire, accessoires... Et puis un jour, poussé par des contraintes professionnelles, j'ai switché sous Mac. Et là, fini le tuning. Je me suis rangé des voitures. D'année en année, j'ai constaté une tendance que d'autres bloggueurs ont noté : le downsizing.
Comme tout bon graphiste, j'ai commencé avec un gros PowerMac double-écran, puis j'ai continué sur cette voie avec un énorme MacPro. Et puis, nomadisme aidant, je me suis tourné vers un Powerbook, avec quand même un écran 17" pour plus de confort.
Puis ça a été un MacBook Pro de 15".
Et aujourd'hui, franchement, j'apprécie plus mon netbook de 10" pour sa mobilité que mon MacBook Pro de 15". Du coup, je lorgne sur le MacBook Air.
Le problème, c'est qu'aucun appareil ne me satisfait pleinement : le MacBook Pro est une machine fantastique, mais son écran de 15" le rend tout de même encombrant en déplacement. Par contre, le NetBook s'il est idéal pour le nomadisme, est franchement pénalisé pour ses piètres performances.
Aujourd'hui, à titre professionnel, nous utilisons tous de plus en plus d'applications SaaS : Google Docs, services webmails,... Du coup, la course à la performance n'a plus vraiment de sens : l'époque où il fallait doper son ordinateur à chaque nouvelle version de Microsoft Office ou Adobe Photoshop paraît révolue.
Ce que l'on recherche, c'est la mobilité avant tout : peu de câbles, de l'autonomie à revendre, et une bonne machine à tout faire.
C'est là que l'iPad - plus probablement dans sa version 2 - me paraît des plus pertinents : il embarque juste ce qu'il faut, il donne accès à la plupart des services web en cloud, et il est des plus polyvalents.
A titre personnel, pour l'instant, mon duo "de rêve" serait constitué d'un MacBook Air pour le boulot et d'un iPad pour les mails, les réseaux sociaux et la maison. Mais je suis sûr qu'une version à mi-chemin entre ces des deux machines va prochainement voir le jour : le véritable chaînon manquant entre supports papier, smartphone, netbooks, notebooks et PC, voire même console de jeux. Le super IT couteau suisse.
Peut-être pour ma liste au Père Noël de l'an prochain, qui sait ?
Tout d'abord, sur l'utilité de l'appareil : comme beaucoup, j'avais tendance à trouver l'appareil "pas assez". Pas assez gavé de mémoire, pas assez de connectivité, pas assez de logiciels...
Ensuite, sur ce à quoi il allait servir. Franchement, lorsqu'on dispose d'un ordinateur portable, d'un smartphone et d'une console de jeux, plus éventuellement un ordinateur de bureau, pourquoi se doter d'une tablette ?
Au fil des mois, le succès s'est confirmé : les applications se sont multipliées, et je crois que j'ai fini par comprendre.
Ce n'est pas l'iPad qui est "pas assez", ce sont les autres machines qui sont "trop".
J'ai grandi en informatique avec la stratégie du tuning : on achetait un PC et on le gavait au fil des années d'accessoires censés accroître ses performances. Carte graphique, mémoire, accessoires... Et puis un jour, poussé par des contraintes professionnelles, j'ai switché sous Mac. Et là, fini le tuning. Je me suis rangé des voitures. D'année en année, j'ai constaté une tendance que d'autres bloggueurs ont noté : le downsizing.
Comme tout bon graphiste, j'ai commencé avec un gros PowerMac double-écran, puis j'ai continué sur cette voie avec un énorme MacPro. Et puis, nomadisme aidant, je me suis tourné vers un Powerbook, avec quand même un écran 17" pour plus de confort.
Puis ça a été un MacBook Pro de 15".
Et aujourd'hui, franchement, j'apprécie plus mon netbook de 10" pour sa mobilité que mon MacBook Pro de 15". Du coup, je lorgne sur le MacBook Air.
Le problème, c'est qu'aucun appareil ne me satisfait pleinement : le MacBook Pro est une machine fantastique, mais son écran de 15" le rend tout de même encombrant en déplacement. Par contre, le NetBook s'il est idéal pour le nomadisme, est franchement pénalisé pour ses piètres performances.
Aujourd'hui, à titre professionnel, nous utilisons tous de plus en plus d'applications SaaS : Google Docs, services webmails,... Du coup, la course à la performance n'a plus vraiment de sens : l'époque où il fallait doper son ordinateur à chaque nouvelle version de Microsoft Office ou Adobe Photoshop paraît révolue.
Ce que l'on recherche, c'est la mobilité avant tout : peu de câbles, de l'autonomie à revendre, et une bonne machine à tout faire.
C'est là que l'iPad - plus probablement dans sa version 2 - me paraît des plus pertinents : il embarque juste ce qu'il faut, il donne accès à la plupart des services web en cloud, et il est des plus polyvalents.
A titre personnel, pour l'instant, mon duo "de rêve" serait constitué d'un MacBook Air pour le boulot et d'un iPad pour les mails, les réseaux sociaux et la maison. Mais je suis sûr qu'une version à mi-chemin entre ces des deux machines va prochainement voir le jour : le véritable chaînon manquant entre supports papier, smartphone, netbooks, notebooks et PC, voire même console de jeux. Le super IT couteau suisse.
Peut-être pour ma liste au Père Noël de l'an prochain, qui sait ?