Le cloud et ses limites, ou quand le off-line devient nécessaire
Google a démocratisé il y a quelques années le cloud, en faisant la démonstration de l'intérêt de séparer ses données des terminaux utilisés pour les créer. L'ordinateur est rapidement devenu un simple terminal, ce qui a d'ailleurs parfaitement coïncidé avec l'arrivée des smartphones.
Les données sont stockées à distance, les applications aussi. Peu importe le moyen utilisé pour y accéder, quel que soit l'outil, on retrouve instantanément son environnement de travail.
Le succès a été au rendez-vous, au point d'initier une nouvelle ère dans l'édition de logiciels.
Tout le monde s'y est mis, le cloud est devenu une norme, mais non sans lever des objections.
Les données sont décentralisées, ce qui est utile pour le nomadisme et pour leur sécurité, mais qui peut poser des problèmes au niveau de la confidentialité.
Aujourd'hui, l'accroissement des applications en cloud, combiné aux usages nomades, contribue à un usage croissant d'Internet, ce qui peut laisser envisager des risques de ralentissement des accès voire de perte de connexion en cas de saturation.
En effet, dans les années qui viennent, la saturation des réseaux et l'explosion des services très consommateurs de bande passante vont poser inéluctablement des problèmes. Et dans ce contexte, comment continuer à exploiter normalement des données qui sont stockées à distance ?
Google montre une nouvelle fois la voie... Petit à petit, la plupart de ses applications proposent un mode "offline", facilement accessible via les apps de Google Chrome.
Il devient ainsi possible de continuer à consulter ses mails ou à les préparer, même sans connexion Internet.
D'autres éditeurs emboîtent le pas, comme par exemple Quark avec Promote dont je vous parlais tout à l'heure.
L'avenir du Cloud devra-t'il passer par le offline ? Je parie que oui... Après l'euphorie du tout on-line, je pense que les clients vont rapidement exiger des accès hybrides, permettant l'utilisation des programmes et des données même sans connexion, ou en environnement dégradé.
Editeurs du cloud... préparez-vous !
Les données sont stockées à distance, les applications aussi. Peu importe le moyen utilisé pour y accéder, quel que soit l'outil, on retrouve instantanément son environnement de travail.
Le succès a été au rendez-vous, au point d'initier une nouvelle ère dans l'édition de logiciels.
Tout le monde s'y est mis, le cloud est devenu une norme, mais non sans lever des objections.
Les données sont décentralisées, ce qui est utile pour le nomadisme et pour leur sécurité, mais qui peut poser des problèmes au niveau de la confidentialité.
Aujourd'hui, l'accroissement des applications en cloud, combiné aux usages nomades, contribue à un usage croissant d'Internet, ce qui peut laisser envisager des risques de ralentissement des accès voire de perte de connexion en cas de saturation.
En effet, dans les années qui viennent, la saturation des réseaux et l'explosion des services très consommateurs de bande passante vont poser inéluctablement des problèmes. Et dans ce contexte, comment continuer à exploiter normalement des données qui sont stockées à distance ?
Google montre une nouvelle fois la voie... Petit à petit, la plupart de ses applications proposent un mode "offline", facilement accessible via les apps de Google Chrome.
Il devient ainsi possible de continuer à consulter ses mails ou à les préparer, même sans connexion Internet.
D'autres éditeurs emboîtent le pas, comme par exemple Quark avec Promote dont je vous parlais tout à l'heure.
L'avenir du Cloud devra-t'il passer par le offline ? Je parie que oui... Après l'euphorie du tout on-line, je pense que les clients vont rapidement exiger des accès hybrides, permettant l'utilisation des programmes et des données même sans connexion, ou en environnement dégradé.
Editeurs du cloud... préparez-vous !