Les interfaces tactiles remettent ergonomie et usabilité au premier plan
Depuis que j'utilise un smartphone tactile, je découvre avec délice des interfaces utilisateurs faciles à utiliser, intuitives, immédiates…
En fait, je re-découvre cela.
En 1998, j'avais lancé ma start-up et je produisais des bornes tactiles pour des points de vente ou des points d'information. Je proposais plusieurs modèles, de la borne autonome aux vitrines interactives Microtouch, idéales pour consulter des annonces immobilières dans la devanture d'une agence.
Ce qui me plaisait avant tout, c'est que le tactile imposait un cadre très strict, du coup, l'exercice de création de l'UI devenait extrêmement intéressant. J'ai toujours trouvé que plus les contraintes étaient nombreuses, plus on était créatif.
Plus tard, j'ai travaillé sur des interfaces pour des bornes de pilotage de salles de contrôle, type Crestron ou AMX. La problématique était la même : il fallait que ce soit sexy, high-tech et très facile à utiliser.
Tout ce qui n'était pas utile était à supprimer.
Aujourd'hui, cette approche revient au goût du jour avec les smartphones. Finis les sites web qui débordent de fonctionnalités, de boutons et de call-to-actions. Finies les interfaces imposées par les développeurs.
Le tactile remet au goût du jour le principe qui veuille que la fonction crée la forme, et qu'il ne faut qu'un nombre limité d'actions possibles par écran.
Gros boutons, nombre limité d'élément, haute lisibilité… du coup, je suis surpris de voir à quel point certaines apps sont bien plus pratiques à utiliser que leur alter-ego sur le web traditionnel. J'en veux pour preuve par exemple l'app d'Amazon.
Certes, elle ne propose pas tout ce que le site web offre, mais quelle fluidité, quelle sobriété !
Comme quoi la contrainte a du bon en matière de design.
En fait, je re-découvre cela.
© http://audiovisual.ivci.com/crestron.html |
En 1998, j'avais lancé ma start-up et je produisais des bornes tactiles pour des points de vente ou des points d'information. Je proposais plusieurs modèles, de la borne autonome aux vitrines interactives Microtouch, idéales pour consulter des annonces immobilières dans la devanture d'une agence.
Ce qui me plaisait avant tout, c'est que le tactile imposait un cadre très strict, du coup, l'exercice de création de l'UI devenait extrêmement intéressant. J'ai toujours trouvé que plus les contraintes étaient nombreuses, plus on était créatif.
Plus tard, j'ai travaillé sur des interfaces pour des bornes de pilotage de salles de contrôle, type Crestron ou AMX. La problématique était la même : il fallait que ce soit sexy, high-tech et très facile à utiliser.
Tout ce qui n'était pas utile était à supprimer.
Aujourd'hui, cette approche revient au goût du jour avec les smartphones. Finis les sites web qui débordent de fonctionnalités, de boutons et de call-to-actions. Finies les interfaces imposées par les développeurs.
Le tactile remet au goût du jour le principe qui veuille que la fonction crée la forme, et qu'il ne faut qu'un nombre limité d'actions possibles par écran.
Gros boutons, nombre limité d'élément, haute lisibilité… du coup, je suis surpris de voir à quel point certaines apps sont bien plus pratiques à utiliser que leur alter-ego sur le web traditionnel. J'en veux pour preuve par exemple l'app d'Amazon.
Certes, elle ne propose pas tout ce que le site web offre, mais quelle fluidité, quelle sobriété !
Comme quoi la contrainte a du bon en matière de design.